Faire la grâce matinée. Une rareté. Un petit bonheur qui semblait avoir quitté la vie de la belle. Couchée dans ses draps bleus pâles, elle respirait doucement, profitant de la légèreté du moment. Lexie faisait le chiffre de l’après-midi, elle aurait donc aussi la possibilité de prendre du temps que pour elle. Son oncle, avec qui elle vivait, venait de partir en voyage pour chercher une nouvelle demeure. Elle finirait par quitter cet enfer, une bonne fois pour tout! La sonnerie du cadran résonna dans toute la chambre. Les boucles blondes de la jeune femme tombèrent sur son visage puis elle ferma la sonnerie du réveil avant de s’étirer et d’aller vers la salle de bain. Comme à son habitude, elle embrassa le cadre où trônait une photo de ses parents puis elle se regarda dans le miroir, avant de sauter sous la douche. La chaleur de l’eau déliait ses muscles, la faisant soupirer de bien-être. Elle finit par sortir et enfiler son uniforme du restaurant. Elle le faisait comme si c’était machinal. Une habitude qui commençait à l’énervée au plus haut point. Elle avait envie de passer à autres choses… Mais dans cette ville, si les SONS ne font pas partit de ta vie… Tu ne vas pas loin. Elle remonta quelques mèches de cheveux blonds puis elle alla vers la cuisine, attrapant un shake protéiné puis elle embarqua dans sa voiture pour aller au travail.

Il était tard, peut-être un peu trop tard pour être encore au restaurant, mais comme toujours, Lexie avait acceptée de faire des heures supplémentaires. Elle fermerait l’endroit seule, comme à son habitude. Vêtue de son uniforme de travail, la jeune femme vagabondait entre les tables, la tête dans les nuages. Elle semblait perdue entre deux feux. L’envie de fuir cette ville était encore présente. Trop présente malheureusement. L’envie de reprendre le volant de son mustang et conduire aussi loin que la vie lui permettrait… Après tout, elle l’avait déjà fait, rien ne la retenait ici. Seule, perdue et complètement dénuée de sentiment d’appartenance. Les seules personnes importantes pour elle, ses parents, étaient décédés. Comment continuer de vivre dans un petit coin de pays où la guerre est omniprésente? Elle posa son cabaret sur une table et fixa l’extérieur. Il faisait noir, extrêmement, elle pouvait voir son reflet dans la vitre à cause de la lumière du restaurant. Elle attrapa le rideau et le fit descendre, avant de répéter l’opération pour chaque fenêtre. Elle reprit donc le plateau qu’elle avait posé puis elle alla vers le backstore, posant le plateau de l’évier et elle revient vers l’avant.

Son cœur arrêta presque de battre. Il y avait un homme cagoulé devant elle. Vêtu de noir, de la tête aux pieds, il brandissait une arme face à elle. « Ta caisse et vite! » La blonde ne bougea pas, perdue. Il s’approcha d’elle, l’agrippa par le bras et il la força à se mettre face à la caisse. Il la secoua un peu. « Dépêche-toi! Je n’ai pas que ça à faire! » La jeune femme entra son code d’autorisation puis la caisse s’ouvrit. Il sourit, amusé et l’entraîna vers le backstore, ouvrant la porte du grand frigo. « Entre et fait toi tranquille, sinon je te bute! » La blonde ferma les yeux et entra dans le réfrigérateur en silence. Elle se mit face à lui, avant de voir un bras agripper l’homme. Terrorisée, elle resta enfermée dans le frigidaire, les larmes aux yeux.
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Les nuits blanches je les accumule de plus en plus. Ce n’était pas vraiment un problème pour ma part car maintenant je n’avais plus besoin de beaucoup d’heures de sommeil à mon effigie pour être en pleine forme. Forme que j’ai appris avoir en étant en prison. C’était, sûr, l’enfer, l’enfer car on est mélanger avec des criminels qui veulent te faire la peau car tu as commis un crime plus grave qu’eux ou non. Des criminels nazis qui détestent les petits nouveaux et qui essayent de leur faire comprendre qui fait la loi à l’intérieur de la prison. J’ai eu une certaine chance d’être tomber dans la cellule d’un mec pour qui ce n’était pas la première fois qu’il tombait ici. Il m’a appris a savoir faire confiance aux bonnes personnes. Mais intelligent que j’étais ses bonnes personnes j’ai réussi à m’en servir pour mon bien personnelle et le sien malgré tout. J’ai réussi à nous faire sortir de prison au bout de quatre mois. Surtout que je devais en tiré pour six ans et lui huit. Mais les bonnes conduites c’est merveilleux j’ai envie de dire.

Après ses petits séjours en prison j’avais repris une vie a peut-être normal, du moins c’est se que je faisais croire a ma mère et ma cadette pour qu’elles ne s’inquiètent pas. C’est bien beau d’être mécano mais c’est encore mieux d’être un membre des SAMCRO. Des journées bien mouvementées mais d’autre bien trop calme à mon gout. Enfin bon bref ce n’est pas bien grave c’est la vie de tout les jours ici. Comme aujourd’hui avec les collègues nous sommes sur une moto bien difficile a remonté, que des pièces détachés, je ne sais pas se qu’à foutus le mec avec sa moto mais c’était une épave la machine ! Enfin bon c’était comme ça, passer la moitié de la journée sur cette épave avant d’être appeler pour faire quelques missions pour le boss. Ouais je l’appelle le boss je ne sais pas c’est quelques choses que je préfère.

Une fois que la journée est faite, qu’on a fait tout se qu’on devait faire, les choses criminels qui ne regarde que le club, je monte sur ma bécane, une Harley pour rentré chez moi. C’est alors que sur ma route mon ventre me faire comprendre qu’il a fait. Se bruit assez fort et désagréable a entendre mais surtout insupportable comme une douleur assez torride qui te tape dans le ventre. Je souffle doucement en secouant la tête puis je m’approche du restaurant dont tu travaille. Je le trouve bien vite tu allais surement fermer mais t’en pis, tu n’avais pas le droit de refusé un client. Je descends de ma bécane puis retire mon casque je dépose dessus. J’ouvre alors la porte doucement et entre sans réelle indiscrétion. C’est alors que je tourne la tête vers la casse que je vois un homme habille de noir avec une cagoule sur le visage. Je fronce doucement les sourcils, ce n’était pas halloween pourtant. Quand je m’approche par la plus grande discrétion vers l’individu je pouvais voir qui pointe une arme sur quelqu’un. En bon saint-maritien que je suis, j’attrape rapidement son bras pour qu’il me fasse. Mon point se fracasse rapidement contre son visage, puis les coups s’enchaine jusqu’à se qu’il tombe sur le sol le visage en sang. Je m’abaisse pour attrapé son arme qui elle est totalement vide. Je rigole doucement puis la passe dans mon jean dans le dos. Je lui donne un dernier coup dans les cotes puis je m’approche du frigo. Je m’appuis sur la porte et je te regarde, la serveuse, l’otage bien jouer. « C’est bon tu peux sortir il ne te fera plus rien. » je pouvais voir que tu étais terrorisé, mais tu ne risque vraiment plus rien. Je passe une main sur ma mâchoire ou plus précisément sur ma barbe que je frotte doucement. « Aller sort de là tu vas être gelé. A moins que tu veux finir comme un glaçon. » puis je m’écarte doucement du passage pour que tu puisses sortir de là.
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