≈ TROUBLE IN THE CHAOS
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez
 

 Violence, give me violence, cause they say we're the worthless ones

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Korben Knight

Korben Knight
welcome to lonwook
◊ MESSAGES : 342
◊ PRENOM/PSEUDO : Datura
◊ CREDITS : Datura
◊ AVATAR : Taylor Kitsch

Violence, give me violence, cause they say we're the worthless ones Empty
MessageSujet: Violence, give me violence, cause they say we're the worthless ones   Violence, give me violence, cause they say we're the worthless ones EmptyDim 4 Oct - 22:31


Violence, give me violence, cause they say we're the worthless ones Tumblr_mosn6rmBMq1swqftso1_500


Dormir ? C’était une perte de temps ! Un truc pour les faibles ! Un truc dont il aurait eu besoin pour dessaouler entre chacune de ses soirées mais ça l’aurait contraint à se confronter à ce nœud de pensées auquel il ne se sentait pas de faire face, pas le moins du monde. Entre le boulot, les sons, les missions et les soirées où il ramassait une salope histoire de ne pas retrouver sa maison vide et son lit froid, il n’avait pas le temps de se retrouver seul avec lui-même et ça lui convenait très bien. Il refusait d’être contraint de penser à Naira, de remuer cette merde qu’il traînait depuis plus de dix piges, parce que cette simple idée lui collait la nausée. La revoir, même s’il savait pertinemment qu’elle était rentrée depuis des lustres, ce n’était pas la même chose que de se retrouver dans la même pièce qu’elle. Jamais elle n’avait pris la peine de venir frapper à sa porte pour lui présenter les excuses qu’il méritait. Putain, il s’était investi dans cette saleté de relation, il y avait cru et comme un con, il aurait été décroché la Lune si elle le lui avait demandé. Il aurait remué ciel et terre pour un sourire d’elle et voilà tout ce qu’il méritait. Un abandon, un silence radio et pas un mot d’excuse derrière. Pire encore, elle eut l’air de lui reprocher tout ça, comme s’il l’avait poussé à se barrer comme une voleuse. C’était ce qui lui était le plus insupportable. Se dire qu’il avait gâché sa vie pour une salope d’égoïste. Comment avait-il pu être aveugle à ce point ? Il était non seulement dégoûté d’elle mais aussi de lui. Il se trouvait minable, réalisait qu’il n’avait plus vraiment d’excuses. L’incompétence de sa mère dans ce rôle avait laissé des traces et il avait probablement ressenti l’irrépressible besoin de se trouver quelqu’un qui soit aussi peu fiable que sa génitrice, comme pour s’enfermer à nouveau dans ce cercle vicieux. Il avait gâché son mariage pour elle, croyant qu’elle était la femme de sa vie et qu’il avait sûrement dû faire une sacrée connerie pour qu’elle le lâche comme ça en cours de route. Toutes ces années, il avait pris l’entière responsabilité de cette disparition avant d’apprendre, par la force des choses et surtout un pur hasard, qu’elle s’était engagé dans l’armée et qu’elle avait sciemment mis tout ça en place pour s’éloigner le plus possible de lui et tout ce qu’il incarnait. Les véritables raisons, il ne les connaissait pas mais il avait une vague idée de ce que ça pouvait être et ça le rendait encore plus malade. Ouais, mieux valait qu’il évite de cogiter sur toute cette merde ou il n’hésiterait pas à faire une sacrée connerie et personne n’avait besoin qu’il attire l’attention de qui que ce soit sur le club, de façon détournée ou pas. Il n’avait pas à montrer qu’il se sentait toujours concerné et blessé, tout ça, il n’était pas question de lui montrer, elle avait fait assez de mal comme ça.

Quoi de mieux, pour se remettre d’une peine de cœur, que de picoler comme un trou et de se faire pomper par une pétasse qui se fiche bien de savoir quel sera son avenir avec vous ? Cette fête était dans une ville voisine, des potes l’avaient invité et il n’avait rien trouvé de mieux que d’embarquer Gage à sa suite, persuadé que ça ne pourrait pas leur faire de mal. Abandonnant son cut chez lui mais pas sa bécane, il débarqua avec la ferme intention de tirer un coup avant de partir, peut-être plusieurs s’il avait vraiment de la chance. Il la repéra à des kilomètres, elle et sa bouche de suceuse professionnelle, certain, à la manière dont elle remuait de la croupe pour attirer l’attention, qu’il ne serait pas déçu mais qu’il valait mieux ne pas oublier la capote parce qu’il ne serait pas le premier à taper dedans. Il lui fit un signe de tête et un sourire charmeur qu’elle lui rendit sans trop de mal. « Tu vois ce que je vois, ma couille ! » lança-t-il à son ami en lui donnant un coup de coude. « Peut-être même qu’elle sera d’accord pour qu’on se la partage, tu vois pas comme ses yeux crient braguette ?! Si t’es pas chaud, on peut toujours en trouver une de plus ! Allez, fais pas ta mijaurée, Gage, j’ai vraiment besoin de m’amuser ! » Et il savait pertinemment pourquoi. Il avait retrouvé Korben plein mort sur le pas de sa porte, une bouteille encore à la main et l’air d’être complètement au bout du gouffre. Ils échangèrent quelques mots sur la question mais finirent par opter pour quelques joints devant un film à la con, le lendemain, Korben était rentré un peu plus dans le détail. Son ex petite-amie n’était pas seulement de retour mais elle n’en avait jamais rien eu à foutre, il se demandait s’il n’avait pas marché à côté de ses pompes tout ce temps-là. « Quoi ? Arrête, toi aussi t’as bien besoin de ça, d’une vraie femme, pas d’une gamine ! On me la fait pas à moi, j’ai bien vu comment vous vous regardez, toi et Nahla ! C’est une pisseuse, qu’est-ce que tu crois que tu vas tirer de tout ça ? Hm ? Cette gamine en a assez vu, elle a besoin d’un type gentil. J’dis pas que tu ne l’es pas, mais… T’as plus besoin des lèvres de miss poisson sur ta queue que d’une relation avec Mills. Ne m’oblige pas à t’énumérer toutes les raisons qui font que c’est une idée à chier ! » C’était un point sensible, pour alléger un peu l’atmosphère, il donna une tape sur l’épaule de son ami de toujours. « Allez, fais pas ton constipé, tire un coup ce soir, demain t’auras le temps de penser à tout ça ! »
Revenir en haut Aller en bas

Gage Reeves

Gage Reeves
welcome to lonwook
◊ MESSAGES : 23
◊ PRENOM/PSEUDO : d.b
◊ CREDITS : _
◊ AVATAR : ed s.

Violence, give me violence, cause they say we're the worthless ones Empty
MessageSujet: Re: Violence, give me violence, cause they say we're the worthless ones   Violence, give me violence, cause they say we're the worthless ones EmptyMar 6 Oct - 19:25


Violence, give me violence, cause they say we're the worthless ones Tumblr_m2v6jcOaSS1qfsqn9o1_500

Sa vie n'était qu'un amoncellement difforme de hauts, de bas, surtout de bas avec lesquels il composait comme un maestro d'un nouveau genre. Un quotidien boiteux pour une volonté émaciée de le changer. Pour ce qu'il en était de s'améliorer, Gage manquait clairement d'ambition. La plupart des décisions qu'il avait pris, ces quinze dernières années, l'avaient traîné d'emmerde à emmerde sans qu'il ne connaisse ne serait-ce qu'un moment même risible de répit. Il avait fini par comprendre, les années faisant, qu'il était malheureusement de ceux qui ne sauraient réellement apprécier le bonheur et son goût de sucre. Bien trop accommodés aux malheurs et son goût de sang, de cendre qu'il commençait à aimer plus que de mesure. Et c'était d'ailleurs ses inclinaisons qui l'avaient mené à intégrer le club et même quelques années auparavant se lier d'amitié – indéfectible – avec un certain Korben Knight qui avait un don indiscutable pour l’entraîner dans des plans toujours plus foireux les uns que les autres. Lorsque son pote se constituait un régime à base de bière, de pute et de baston, pour sa part, il préférait largement la sagesse, le calme,  ( et les putes et la bière et la baston, à moindre mesure). Contrairement à son ami, il se révélait la plupart du temps plus réfléchi , plus consciencieux, plus chiant – et encore, ça dépendait des références. Et quand les références qui pullulaient au sein du club semblaient toutes flinguées dans les grandes largeurs difficile était de saisir l'ampleur du problème. Mais s'il y avait bien un domaine dans lequel ils pouvaient tous deux êtres comparés, c'était bien celui qui faisait intervenir des sentiments plus nobles que le primitif besoin de baiser. L'amour n'était pas un sentiment plutôt un mal, un travers, une affection, même une infection face à laquelle y'en avait pas un pour rattraper l'autre. Le niveau draguait lamentablement les pâquerettes et Gage, Gage préférait largement bouffer les pissenlits par la racine plutôt que de se reconnaître capable de ce sentiment de tapette qu'il fuyait depuis toujours. S'il était capable de ressentir quoique ce soit , il semblait vouloir se persuader du contraire et , ça ne lui faisait pas plus d'mal que ça. En revanche, son pote, lui, anesthésiait plus facilement les peines de cœur en se la jouant éponge à Jack Daniels dès que l'occasion se présentait et vu les gonzesses pour lesquelles il tombait raide dingue, l'occasion se présentait trop souvent. D'ailleurs, c'était une de ces occasions qui les avait mené là où ils se trouvaient, à l'instant, parmi une multitude de trous d'balles imbibés à embrasser du regard le carnage qui se déroulait sous leurs yeux. Korben et sa vie sentimentale dignes d'un épisode particulièrement merdique d'un feuilleton diffusé depuis les années 70 dont il n'arrivait jamais à se souvenir du nom.

En bref, les commentèrent qu'émis K. eurent simplement pour effet de le faire sourire. La brune était certainement le « bon plan » de toute cette foutue fiesta et  autant dire qu'ils ne devaient certainement pas être les seuls à avoir reluqué son cul. Pas les seuls à être sur le coup. Il haussa les épaules, Gage. Des bombasses pareilles cachaient la misère du monde dans leur foufoune. Pas qu'il n'eut pas pensé à visiter son temple, l'idée lui traversa l'esprit à la vitesse d'une fusée,  brièvement. Il ne se sentait pas particulièrement d'humeur et les palabres de son pote ne l'améliorèrent pas, enfin... Il poussa un grognement. S'il savait qu'ils en reviendraient à parler mollesse et violon, il serait resté cloîtré chez lui. Ceci dit, vu la tension qui régnait dans l'air, il avouait bien volontiers se sentir plus à l'aise ici, dans un coin bondé, avec des tas de tronches inconnues plutôt que sous son propre toit, en compagnie de ladite pisseuse qui, vraisemblablement, lui en faisait voir de toutes les couleurs, surtout les plus moches. Il apprécia le discours de commercial que le brun lui vendit et fut presque sur le point de lui offrir une médaille pour l'effort. S'il y avait bien une personne sur terre capable d'alléger l'atmosphère, c'était bien Knight. C'était une constante dans une mer houleuse de variables. « J'ai l'impression que t'fais une fixette sur ma queue et où  j'la fous, Korbie. C'est flippant. J'vais finir par croire que tu m'trouves à ton goût » - évidemment, il ne le reprit pas, concernant Nahla. Quelque chose clochait avec la gamine ( même s'il n'était plus sûr qu'elle le soit) et , il souhaitait pas creuser le sujet. Le fait que K. ait remarqué ce qui se tramait suffisait pour le moment. Même s'il lui faisait confiance, Gage était de nature taciturne et surtout en retrait. Jamais prêt à cracher ce qu'il avait sur le cœur. Il y arrivait, parfois, il lui fallait le plus souvent une bonne dose de ras le bol combinée à une plus importante dose d'alcool ( et de marijuana) pour se confier. Mais il finissait toujours par le faire. Korben se trouverait là quand il se sentirait prêt. « Mais t'as raison, j'commence à les avoir aussi bleues qu'un  schtroumpf, au point même de péter un câble pour un rien, sérieux » - c'était un phénomène qu'il ne comprenait pas. Pourquoi est-ce qu'il n'allait pas sauter la première venue , le club regorgeait de poules qui ne demandaient que ça. Il fit signe à son pote de le suivre parmi l'agglutinement, se frayant un chemin pour atteindre les boissons disposées dans un coin tout en saluant parfois des péquenauds qu'il lui semblait déjà avoir croisé.  Il laissa son regard couler autour de lui pour le laisser poser sur une blonde , pas vraiment son style mais, il ne comptait pas l'épouser, de toute. « T'as proposé de m'en trouver une. J'te propose, moi, de faire en sorte qu'elle vienne à moi sans que j'fasse le moindre effort. A toi d'jouer alors» - il le poussa vers la piste , en l'encourageant d'un sourire. Sourire qui s'effaça légèrement lorsqu'il vit qu'ils n'étaient effectivement pas les seuls à envisager du pur sexe pour la soirée.

Revenir en haut Aller en bas

Korben Knight

Korben Knight
welcome to lonwook
◊ MESSAGES : 342
◊ PRENOM/PSEUDO : Datura
◊ CREDITS : Datura
◊ AVATAR : Taylor Kitsch

Violence, give me violence, cause they say we're the worthless ones Empty
MessageSujet: Re: Violence, give me violence, cause they say we're the worthless ones   Violence, give me violence, cause they say we're the worthless ones EmptyVen 9 Oct - 22:01


Violence, give me violence, cause they say we're the worthless ones Tumblr_mosn6rmBMq1swqftso1_500


L’heure n’était pas à la conversation. Pour quoi faire ? S’épancher comme des tafioles et chialer sur le passé ? Trop peu pour lui. Il fallait combattre le mal par le mal et quelle meilleure façon qu’en faisant la fête avec son frère jumeau d’une autre mère ? Ce n’était pas uniquement pour lui qu’il le faisait mais également pour Gage qui avait l’air d’être au bout du rouleau, à se torturer l’esprit s’il était convenable ou pas de taper dans une gamine à peine majeure. En réalité, il n’y avait pas vraiment de règles en la matière mais ça n’avait d’intérêt que si on comptait lui passer une bague au doigt à un moment donné. Il fallait tout lui apprendre, commencer de nulle part et en faire la femme qu’elle serait demain. C’était, certes, un investissement sur l’avenir mais qui pouvait se révéler infructueux. Beaucoup d’énergie et de temps dépensés pour rien, mieux valait miser sur les valeurs sûres et en prendre une qui n’avait pas besoin d’un père, d’un professeur ou d’un maître à penser mais seulement d’un homme. Etait-ce trop demander ? A croire que le monde se divisait en quelques catégories : les salopes, les femmes de sa famille et les saintes. Il aurait aimé trouver une femme à la hauteur de ses espérances – qui n’étaient pas si élevées que ça, au fond – et qui soit à la fois sauvage et indomptable mais terriblement droite. Pour l’heure, il se contentait de chercher du réconfort auprès de celles qui ne refusaient jamais d’en donner, sous prétexte que vous n’aviez pas de pognon ou pas le bon mode de vie. Il avait déjà tenté de se caser, de faire les choses de la bonne façon et cela s’était soldé par un paquet de fric jeté par les fenêtres et un échec cuisant. Il n’était pas prêt d’y retourner. Faire comme tout le monde n’était peut-être pas ce qui lui convenait le mieux et Gage partageait visiblement cette tare. Une gamine ! On n’avait pas idée de se laisser retourner le cerveau par un petit cul qui portait encore des couches la veille et qui risquait de nous attirer un tas d’emmerdes ! Oui, il fallait que le whisky coule à flots ce soir et que les gonzesses se mettent à genoux sans trop rechigner ou il serait contraint de déclencher une baston pour faire redescendre la pression. Mais l’un n’empêchait pas l’autre, il fallait être con pour négliger l’intérêt d’une montée d’adrénaline avant un petit rodéo avec une pétasse qui avait l’air de sortir d’un couvent. Cela valait bien de prendre le risque de choper une infection imprononçable qui l’empêcherait de niquer durant les trois prochains mois. Il aurait sans doute renoncé s’il avait été en état d’y penser sans avoir envie d’éclater de rire en remuant les lèvres pour tenter de prononcer le nom d’une des nombreuses MST qu’il connaissait. C’était toujours plus drôle comme ça que lorsqu’on se retrouvait d’office sur la touche.

« Je suis amoureux de toi, tapi dans l’ombre, j’attends mon heure, tu le sais bien ! » répliqua-t-il, hilare, sur le même ton, en lui donnant une grande tape dans le dos avant d’éclater de rire. Il passa son bras autour de ses épaules et déposa un baiser sur sa joue, comme ils le faisaient entre frères. Il fallait être stupide pour y voir de l’homosexualité refoulée, au contraire, ça puait la fraternité et la virilité. « Faut relâcher la pression, mon frère, avant que ton envie de me violer ne soit plus forte que le reste. Et je ne pourrais pas t’en vouloir, le géant fait cet effet là sur tout le monde, hommes et femmes confondus. » ajouta-t-il avec humour, fier d’avoir trouvé un nouveau qualificatif pour ce qui faisait la fierté de n’importe quel mec sans qu’une femme n’ait jamais été foutue de comprendre pourquoi. Qu’y avait-il de plus beau et important que le phallus ? Hm ? Vecteur de vie et de plaisir, multifonctions et gage de puissance, on faisait difficilement mieux ! Il se fit la réflexion qu’il commençait à être sacrément torché pour se lancer dans un monologue du pénis en interne, ses multiples personnalités déglinguées pour seul public. Se faire pousser pour danser le sortit de sa torpeur. Il était aussi bon danseur que doué pour les relations de couple, autant dire qu’il ne risquait pas d’attirer autre chose qu’une guenon en s’agitant de façon désarticulée sur la piste. On croirait sûrement qu’il était en pleine crise de quelque chose et on appellerait les secours pour lui administrer un médicament dont il n’avait pas besoin, sauf s’il en existait un pour regonfler un ego laminé par une pauvre danse. Il allait arroser son ami d’une remarque de son cru avec un vocabulaire fleuri, comme toujours, quand son regard épousa les formes de lèvres de suceuse number one qui semblait avoir trouvé son bonheur et suivait un type sans envergure et sans saveur en lui tenant fermement la main. « T’as vu ça ? Non mais t’as vu ça ? » cracha Korben, exaspéré, en faisant de grands gestes. « C’est un gamin, un putain de gamin et elle va lui donner tout ce qui était pour nous ! Non, non, non, non ! Je ne peux pas accepter une injustice pareille ! On pourra toujours trouver un trou à fourrer plus tard, c’est notre honneur qui est en jeu et puis je viens tout juste de décider que j’avais plus envie de foutre sur la gueule de quelqu’un que de me vider les burnes, on s’occupera des tiennes après ça, papa schtroumph ! A moins que tu préfères rentrer chez toi pour régler ton problème avec la reine lionne. Je te laisse, où je vais, c’est interdit aux enfants. » Il lui offrit un clin d’œil et un sourire moqueur avant de lui tourner le dos et de tenter de remettre la main sur son coup du soir, prêt à en découdre avec l’élu de son vagin.

Revenir en haut Aller en bas


Contenu sponsorisé
welcome to lonwook

Violence, give me violence, cause they say we're the worthless ones Empty
MessageSujet: Re: Violence, give me violence, cause they say we're the worthless ones   Violence, give me violence, cause they say we're the worthless ones Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Violence, give me violence, cause they say we're the worthless ones

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» you give love a bad name (nino)
» (f) gemma arterton ♦ give me your body.
» i wished you the best of all this world could give × (montana)
» I was too weak to give in, too strong to lose {Naira}

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
≈ TROUBLE IN THE CHAOS :: ~ PART THREE :: quartier hammond hill :: on the road-